Les termes ''cœlioscopie'' ou ''laparoscopie'' signifient que l'intervention ne comporte pas de grande incision abdominale.
L’intervention n'est pas faite “à ventre ouvert'' (laparotomie) mais par l'intermédiaire d'une petite caméra introduite dans l'abdomen par un orifice cutané de 10 mm, au dessus de l’ombilic, ce qui permet d’obtenir une vision agrandie des organes sur un écran de télévision.
3 à 4 autres orifices de 5 à 10 mm (pour les instruments) sont associés.
Ces orifices laissent des cicatrices peu ou pas visibles.
Au cours de l'opération, un gaz est insufflé sous pression dans l'abdomen.
Ce gaz est évacué en fin d'intervention.
Toutefois, il persiste fréquemment de l'air qui peut être responsable de douleurs au niveau de l'abdomen ou des épaules. Ces douleurs disparaissent en 1 à 2 jours.
Un traitement contre ces douleurs vous sera prescrit.
Certaines circonstances (adhérences, séquelles d'intervention précédente, anomalies anatomiques, difficultés techniques, complications imprévues…) peuvent nécessiter de convertir l'intervention. Dans ces cas, rares, il est nécessaire de recourir à une intervention “à ventre ouvert”.
La coelioscopie est réalisée son anesthésie générale complète.
Le fait que l’intervention soit réalisée par coelioscopie ne doit pas masquer le fait qu'il s'agit d'un véritable acte chirurgical, avec ses possibles complications et les complications propres de l’anesthésie générale.
Par rapport à une chirurgie abdominale conventionnelle, une intervention par coelioscopie comporte les avantages suivants :
Douleurs post opératoires moins importantes et plus facilement calmées par les médicaments contre la douleur.
Si besoin, ces médicaments vous seront administrés en continu grâce à une pompe à injection.
Récupération plus rapide, avec hospitalisation courte.
Séquelles esthétiques mineures.
Chez les patients obèses, la laparoscopie met à l’abri des complications liées à l’ouverture de la paroi (abcès, éventration) qui sont fréquentes et graves.
L’intervention n'est pas faite “à ventre ouvert'' (laparotomie) mais par l'intermédiaire d'une petite caméra introduite dans l'abdomen par un orifice cutané de 10 mm, au dessus de l’ombilic, ce qui permet d’obtenir une vision agrandie des organes sur un écran de télévision.
3 à 4 autres orifices de 5 à 10 mm (pour les instruments) sont associés.
Ces orifices laissent des cicatrices peu ou pas visibles.
Au cours de l'opération, un gaz est insufflé sous pression dans l'abdomen.
Ce gaz est évacué en fin d'intervention.
Toutefois, il persiste fréquemment de l'air qui peut être responsable de douleurs au niveau de l'abdomen ou des épaules. Ces douleurs disparaissent en 1 à 2 jours.
Un traitement contre ces douleurs vous sera prescrit.
Certaines circonstances (adhérences, séquelles d'intervention précédente, anomalies anatomiques, difficultés techniques, complications imprévues…) peuvent nécessiter de convertir l'intervention. Dans ces cas, rares, il est nécessaire de recourir à une intervention “à ventre ouvert”.
La coelioscopie est réalisée son anesthésie générale complète.
Le fait que l’intervention soit réalisée par coelioscopie ne doit pas masquer le fait qu'il s'agit d'un véritable acte chirurgical, avec ses possibles complications et les complications propres de l’anesthésie générale.
Par rapport à une chirurgie abdominale conventionnelle, une intervention par coelioscopie comporte les avantages suivants :
Douleurs post opératoires moins importantes et plus facilement calmées par les médicaments contre la douleur.
Si besoin, ces médicaments vous seront administrés en continu grâce à une pompe à injection.
Récupération plus rapide, avec hospitalisation courte.
Séquelles esthétiques mineures.
Chez les patients obèses, la laparoscopie met à l’abri des complications liées à l’ouverture de la paroi (abcès, éventration) qui sont fréquentes et graves.